« Il faudrait tout
citer… Admirables poèmes d’amour fou qui soutiennent la comparaison avec ceux
d’Eluard et de Louise Labé […] Son talent ne doit rien à personne, elle crée son
propre langage […] On n’a jamais rien lu de plus beau et de plus fort […] Le
destin a voulu qu’elle reste une jeune fille éternelle qui laisse derrière elle
ce paquet de lettres fulgurantes et cet essai amoureux suspendu dans le temps,
dérisoire désormais comme si en Mireille Sorgue avaient été assassinés à la fois
Mozart et Aragon. »
(Jean-Didier Wolfromm, Le Magazine
littéraire)
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